Une convention, trois salons en file indienne et un festival qui fait plouf !

 

Les salons, les conventions, j'adore. J'adore l'ambiance et les rencontres improbables qui en découlent. J'ai toujours aimé, mais en n'enquiller cinq de rang c'est sportif ! Surtout côté "exposant"...

 

Pas question de me plaindre, un roman publié, cela se fête, c'est sûr, mais si on se contente d'attendre les doigts de pieds en éventail que les lecteurs le découvrent seuls, ça peut trainer très longtemps...

Le miens est sorti en avant première pour Génération Star Wars & SF, une aubaine pour un space opera, d'autant que cette convention se déroule à 500 mètres de chez moi, que je fais aussi accessoirement partie des Héritiers de la Force, association organisatrice de l'événement et que Gandahar bénéficie d'un stand en tant que partenaire. 

C'est donc aux côtés de Jean-Pierre Fontana et en compagnie de Perrine Rousselot que j'ai pu dédicacer les premiers exemplaires des Enfants du Passé.

Laurent Pendarias était aussi des nôtres pour présenter son Aventurière Intérimaire

 

Malgré un froid épouvantable, nous avons vu défiler une foule impressionnante en quasi continu. Cette convention, il faut le préciser, attire plus de cent cinquante mille visiteurs. Petite satisfaction toute personnelle, j'ai constaté que mon roman pouvait intéresser de parfaits étrangers - cela peut paraitre "normal" vu de l'extérieur, mais c'est quand même rassurant pour un auteur débutant - avec une mention toute spéciale à la jeune femme qui a flashé sur un flyer trouvé sur le comptoir de l’accueil.

 

 

Ambiance bien différente aux Intergalactiques, où j'ai retrouvé la fine équipe de l'Aventurière Intérimaire. On était très très loin de de l'affluence de la Japan Haru Touch où cette photo a été prise... Un salon bien calme, (il semble qu'il y ait eu un gros bug au niveau de la communication) mais pas une perte de temps pour moi, puisque j'ai pu discuter avec les éditeurs présents et avancer sur plusieurs projets, dont les Aventuriales 2016.

 

 

Le weekend suivant, j'ai enchaîné avec ImaJn'ère à Angers. Merci à Patrice et Élisabeth Verry pour le canapé et les chouettes discutions. 

Ce n'était pas non plus la foule, mais l’accueil valait à lui seul le déplacement. J'y ai retrouvé des amis et fait des connaissances, discuté "boutique" avec Romain, mais ce qui restera pour moi le clou de ce salon, c'est l’enthousiasme manifesté par Estelle Faye à la lecture des Enfants du Passé. Ce genre d'expérience, ça requinquerait un mort !

Ce salon fut le théâtre d'un double coup de foudre puisque de mon côté, je suis tombée raide dingue de Chet, le chanteur de Jazz travesti du Paris post apocalyptique d'Un Éclat de Givre

 

Photo prise avec l'équipe des bénévoles à la toute fin du salon, nous sommes les deux dernières autrices présentes, chacune dévorant le roman de l'autre.

 

 

 

A peine rentrée d'Angers, je repartais pour Épinal. Les Imaginales, c'est LE salon de l'imaginaire, celui qu'on rêve tous de faire et, depuis 2011, c'est devenu pour moi un rendez-vous incontournable avec les amis, les copains, le grand pique-nique du samedi, les soirées aux terrasses de la place de Vosges... à discuter de nos projets mais surtout de tout et de rien. 

Cette année, ce fut l’occasion de nombreux retours live sur mon roman, tous super enthousiastes, ça fait chaud au cœur, ça donne envie de persévérer.  Je ne me fais guère d’illusions et suppose que ceux qui n'ont pas aimé ne se sont juste pas encore manifestés.

Photo du stand Voy'[el] & Petit Caveau, piquée avant leur autorisation sur le site de Mythologica

 

Merci à Perrine de Kitsunegari pour le gite et le covoiturage, nouvelles opportunités de rencontres...

 

Pour finir, ce weekend ça aurait du être les Geek Faëries, Murphy et les inondations en ont décidé autrement. Mes pensées vont aux organisateurs...


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